Thursday 20 February 2014

les Hivernales this week end at Espinas

Ce n’est pas une première, la salle des fêtes d’Espinas va accueillir les projections du festival Les Hivernales du documentaire. Béatrice Amiel et Jean-Michel Filiquier, de l’association Le Fond et la forme, avaient clôturé la première édition il y a dix ans. Ils vont bien finir par s’y installer!
Et ils y sont, de toute façon, bien accueillis: le partenariat avec les bénévoles du syndicat d’initiative, tracté par les Curato, est toujours vivace!

Quatre films pour un week-end

Samedi 22 février.à 14 h 30: «Au nom du coach», de François-Xavier Drouet. Candidat malheureux à l’émission de téléréalité musicale «The Voice», Luc a une certitude: il sera millionnaire dans les trois ans.
à 16 heures: «Une Affaire de décor», de Rémi Gendarme. «Il me reste une minute trente pour parler de la solitude. J’ai des auxiliaires de vie pour m’aider à vivre seul. Mais quand je suis seul, je peux regarder le plafond... seul.» Une caméra fixée sur son fauteuil, Rémi parvient à montrer sa vie avec un humour et une poésie qui ne sont qu’à lui. Rémi a obtenu un master de réalisation de film au Créadoc. Il échangera avec les spectateurs.
Une auberge espagnole est à prévoir. Une soupe pour les étourdis.

Une soirée vie rurale

À 20 h 30: «Changement de situation», de Jeanne Delafosse et Camille Plagnet. Las de son travail à l’agence pour l’emploi à Paris, Alain F. prend congé et part dans le Massif central. À la rencontre de gens «ordinaires» qui inventent des modes de vie hors de la frénésie urbaine et de la société de consommation.
Dimanche 23.à 15 heures: «Le pain que le diable a pétri», de José Vieira. Adsamo, village du sud de l’Europe, va disparaître. Ici, les chants de la terre ne sont pas encore oubliés mais ils ne sont plus chantés. Le film accompagne les habitants tout au long des saisons. Les mémoires se délient avec le temps. Chroniques de la vie rurale, des bouleversements traversés tout au long du siècle dernier, des combats qu’il a fallu mener pour conjurer la misère, de la résistance contre le salariat et l’asservissement.     from the Depeche
Val says  we have missed out on these films this year and we are so busy this week end, soiree at Sautou Sat, and Albi Sunday, to look round the theatre that we will not make this event. A real shame.